race : Moroi. date et lieu de naissance :  Un vingt-cinq mai non loin de la cour royale. âge : Vingt-trois ans. nationalité et origines : Vadim est de nationalité américaine bien qu'il aient des origines slaves de par son origine royale et italiennes du côté de sa mère. situation amoureuse :  Vadim est actuellement en couple avec Allison ce qui est une situation loin d'être parfaite. Parce que Badica ne sait plus aimer, plus comme avant. traits de caractère : Tendre, vrai, stable, sociable, sécurisant, romantique, rêveur, protecteur, loyal, gourmand, intrépide, passionné, indépendant, impulsif, incertain, imaginatif, prêt à tout, doux, désintéressé, désordonné et attentif..

statut social: Vadim est de sang royal comme son père avant lui. Il est également l'héritier de sa famille mais cette situation est bien loin de lui plaire. Le pouvoir est quelque chose qui a toujours eu peu d’intérêt à ses yeux. statut professionnel : Vadim aurai pu arrêter ses études à 22 ans mais en continuer lui permet de ne pas devoir rentrer au palais trop souvent et d’échapper au contrôle pesant de ses parents. Il poursuit donc des études en commerce international pour faire plaisir à papa tout en sachant que son avenir est de toute manière déjà totalement tracé.

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⊹ II. BLOOD IS FAMILY (QUESTIONNAIRE) ⊹

votre pire défaut :

excessif(ve) trop sérieux(se) étourdi(e) trop émotif(ve)

quitte à se saouler, autant le faire avec :

du martini blanc un Blue Lagoon du Get 27 les trois

votre source préférée est déjà prise par un autre Moroï. Vous êtes :

vert(e) de jalousie voyez rouge avez une peur bleue êtes blanc comme un linge

En soirée vous êtes :

rabat-joie lourd(e) in da place invisible

Vos canines, vous les aimez :

un p(i)eu beaucoup à la folie pas du tout

Honnêtement, elle vous pompe l'air, Tatiana Ivashkov ? Vous partagez ses idées ? Vadim ne partage pas vraiment l'opinion de la reine voir de la plupart des royaux. Le système mis en place est loin de lui plaire ou plutôt, il ne l'a en aucun cas aidé à s'épanouir. En effet, la vision des choses, la séparation des races, les blood whores, toute la société l'a fait sombrer avant de lui donner une nouvelle chance. Sauf qu'il n'est plus vraiment lui-même, il est devenu un pantin qui accepte la manière de faire de sa famille, de la société ne pouvant en aucun cas la changer. Ou plutôt, il ne désire pas se lancer sur le chemin tortueux de la contradiction. De toute manière, il ne possède aucun pouvoir de décision et cela ne changera pas avant un long moment c'est du moins ce qu'il espère ardemment.

Quelles sont vos relations avec les dhampirs ? Et avec les autres Moroï ? Vadim a toujours considéré les Dhampirs comme des êtres qui avaient également des droits. Il n'était pas contre eux mais pas non plus proche d'eux jusqu'à ce qu'Hazel pointe le bout de son nez. Ce qui est certain c'est que pour lui, un gardien est une personne à part entière et qu'il n'est pas du genre à se montrer dédaigneux sauf envers sa propre gardienne. La pauvre demoiselle à la malchance d'avoir été associé à un homme qui ne veut pas de gardien. La cohabitation est donc difficile. Avec les autres Moroïs, il est gentil ou du moins, il a appris à ne pas traiter les gens différemment selon leur statut de sang. Il a même du mal à supporter quelques royaux. Vadim pense d'abord avec son coeur avant d'utiliser sa tête.

Quelle a été votre réaction suite au massacre ? Faites-vous partie d'un groupe en particulier ? Il trouve honteux qu'on ait abaissé la majorité et même s'il n'était pas encore de retour au pays lors du massacre, il peut comprendre pourquoi cela a touché tout le monde. En effet, beaucoup de personnes ont péris et cela est vraiment quelque chose de négatif. Toutefois, ce qu'il ne comprend pas c'est pourquoi la société Moroï s'évertue-t-elle à ne penser qu'à ses propres pertes. Cela lui semble pas très naturel surtout que c'est bien leur race qui a connu leur moins de pertes. Toutefois, Vadim s'est éloigné du monde des royaux pendant tellement de temps que tout cela lui parait maintenant si loin.

⊹ III. BLOOD IS PAIN (HISTOIRE) ⊹
(en une trentaine de lignes, il s'agira de raconter l'histoire de votre personnage. Sous forme d'anecdote, d'histoire traditionnelle ou autre, le choix vous appartient)

Citation :

⊹ IV. BLOOD IS DEATH (VOTRE PARTIE) ⊹
pseudo/prénom : Burning Bridges/Amandine. âge : 22 ans. présence :     . où avez vous pris connaissance du forum ? par la folle furieuse   . avis/commentaires :         . avez vous lu la saga ? Yep yep.

⊹ CHAPTER ONE : step one, we talk ⊹
Stupide, son père le trouverait totalement stupide pour l'acte qu'il venait d'accomplir et pourtant, il n'en avait que faire. Oh, il se moquait bien de se mettre Misha Drozdov à dos, cela n'avait aucune forme d'importance. Non, l'homme ne pouvait plus faire celui qui n'en avait que faire. Celui qui, une fois encore, allait laisser son colocataire se jouer d'une Dhampir. A ce petit jeu, il semblait être champion mais lui, il ne désirait plus faire partie de ses manigances, le laisser jouer jusqu'à ce qu'il se lasse et que ce soit à Badica d'ouvrir la porte pour leur annoncer que le grand Drozdov n'était jamais là pour les voir. Peut-être que ce qui le perturbait véritablement c'était la personnalité de la dernière demoiselle. Hazel était réellement intéressante si seulement elle n'avait pas été aussi naïve, elle ne serait pas tombée dans ces filets. Peut-être était-ce son seul défaut. Le Moroï se sentait stupide, parce qu'il allait tout penaud voir une demoiselle qui devait en ce moment même avoir envie de réduire toute sa race en un tas de bouillie. Mais lui, il ne pouvait faire autrement. Parce que Badica n'écoutait jamais et surtout par ses pauvres parents qui, à ce moment précis, seraient, sans aucun doute en train de le réprimander. Mais lui, il n'a jamais eu le regard du royal ou peut-être que son père était trop occupé par ses propres soucis pour se rendre compte que son endoctrinement ne fonctionnait pas. Peut-être que s'ils l'avaient mieux aimé, s'ils s'étaient occupés de lui différemment, il aurait pu croire à leurs mots mais ça fait longtemps qu'il n'est plus aussi crédule. « Je suis désolé. » Il ne sait pas vraiment pourquoi il s'excuse. Parce que personnellement il n'a rien fait et c'est peut-être de cela qu'il se sent coupable, de l'avoir laissé tomber dans les bras d'un tel crétin.Parce qu'il était son ami, parce qu'il n'était pas le seul à voir les demoiselles Moroïs comme des trophées qu'il fallait à tout prix posséder. Bizarrement, il n'avait jamais ressenti ce besoin de se lier avec l'autre race. Se trouver une belle petite Moroï lui suffisait amplement mais pas tout de suite. Non, Badica désirait profiter de sa jeunesse, de cette liberté, de ces années à l'académie où on n'attendrait pas trop de lui. Oh, il voulait faire de grandes choses mais pas celles prévues par les autorités familiales. Celles qu'il aurait décidées. Oui, Vadim Badica se berçait sans aucun doute de grandes illusions mais à cet instant précis sa vision des choses n'était pas son principal problème. Non, tout ce qui semblait trouver grâce à ses yeux était la tristesse qu'il retrouvait chez Hazel Mcmahon. « Tu viens chercher les restes ? » Hazel était non seulement triste mais également en colère et cette dernière ressortait sur ce pauvre Badica, innocent de l'histoire. En d'autres occasions, il aurait ri parce que les relations sexuelles ce n'était pas celles qui lui plaisaient le plus. « Je suis simplement venu voir si ça allait tout de même et puis euhm... je ne suis pas comme Misha, je ne suis pas intéressé par ce genre d'arrangement. Je veux juste être ton ami Hazel. » Badica affichait son faible petit sourire en coin qui le faisait paraitre plus jeune qu'il ne l'était. Oh, à le voir ainsi, personne n'aurait jamais pensé une seule seconde à la nature qui est sienne. Parce qu'il n'avait rien d'un futur Prince. Non, il ressemblait tout simplement à n'importe quel autre jeune homme de son âge, stupide, nerveux, un peu emmerdant mais assez innocent.


⊹ CHAPTER TWO : Honor and love ? ⊹
Ils le prenaient pour un fou, parce qu'il n'avait pas précisé ou peut-être qu'au fond d'eux, ils pensaient qu'il changerait d'avis. Quel fils digne de ce nom viendrait passer ses vacances en compagnie de sa Dhampir de copine. Mais lui, il la voyait juste comme Hazel. La Hazel qui l'avait séduite, petit à petit, celle qu'il n'avait pas vu venir mais qu'il ne désirait toutefois pas voir partir. Elle était là, elle allait le rester et il se moquait du reste. Des regards que lui lançaient certains Moroïs quand ils se baladaient main dans la main dans les couloirs, de la réaction de ses parents, de la mère de la demoiselle. Elle était la seule qui comptait, étrangement, Badica était un romantique, le genre de type prêt à couvrir sa petite amie d'or sans qu'elle ne l'ait nullement demandé. C'était même tout naturellement qu'il lui avait demandé de passer quelques jours chez lui, dans sa maison de campagne en Italie. Pour lui, tout cela était normal parce que c'était sa vie mais il avait bien vite senti le malaise chez la demoiselle qui l'accompagnait. Peut-être que sa tenue moins décontractée ou l'immensité de sa suite l'avait perdue. Ce n'est pas ce qu'il désirait, tout ce qui avait de l'importance, c'était elle, passer quelques semaines ensemble avant de se quitter longtemps, bien trop longtemps. Tout s'était quand même bien déroulé jusqu'à la rencontre. S'il s'était attendu à une attitude froide de la part de ses parents, il n'aurait pas pensé que les choses puissent dégénérer à ce point. Sa mère n'avait fait que critiquer la pauvre Hazel tandis que son père appuyait encore et toujours plus sur les points sensibles, sur le moment où elle deviendrait gardienne et disparaitrait de son existence. La pauvre demoiselle était restée stoïque mais Vadim la savait touchée au fond d'elle-même. La conversation s'était rapidement terminée avec une Hazel remontant rapidement dans leur chambre tandis que Badica était retenu par son père. « A quoi tu pensais Vadim ? Une Dhampir chez nous ? Tu es en âge de t'amuser mais de là à ramener tes petits plaisirs ici, il y a un pas. » L'adolescent boulait de l'intérieur. Parce que la vision archaïque de son père s'opposait totalement à la sienne. Parce que pour lui, Hazel n'était pas le passetemps que voyait son père et que rien ne pourrait changer cela. « Ce n'est pas un petit plaisir père, je l'aime et je ne compte pas arrêter de la voir même si vous êtes deux idiots qui ne sont pas capable d'apprécier son incroyable personnalité. » Et il était remonté parce que ce n'était pas eux qui l'intéressait mais la belle ébène qu'il retrouvait en train de faire ses valises. Au fond, il ne pouvait pas lui en vouloir, vu la manière dont ses parents l'avaient traité. « Hazel, je t'en prie ne pars pas, je suis désolé pour eux. Si j'avais sur je... » Mais il n'eut pas le loisir de continuer sa phrase qu'elle le coupa. « Vadim tu t'attendais à quoi ? Qu'ils m'accueillent les bras ouverts ? Pour eux je ne suis que la Dhampir, blood whore, qui vient dans leur belle maison dans une robe trop chère pour elle et au bras de leur très riche fils. Je passe pour une pompeuse de fric et je ne resterais pas un moment de plus ici. » Il ne pouvait la laisser partir mais en même temps rien ne pourrait vraiment la revenir. Toutefois, Vadim esquissa un geste dans sa direction, comme un dernier moyen de la garder un peu plus longtemps près d'elle. Tout doucement, il se saisit de sa main comme pour lui donner un point d'ancrage. « Je partirais avec toi, tu es celle avec qui j'ai envie de passer mon temps et j'irais n'importe où avec toi Hazel Mcmahon. » Doucement, il posa ses lèvres sur les siennes dans un baiser profond mais en même temps déchirant lorsqu'elle s'éloigna. Non, il n'avait pas gagné, il en était même loin. « Dégage j'ai pas besoin de toi... » Et elle continuait de se préparer, de faire ses valises, de le quitter. Parce que ses parents avaient gâchés son histoire. Et elle était partie le laissant le coeur en miette le coeur brulant d'une rage immense. Badica n'avait pas passé la nuit chez lui, il était parti, la rejoindre, la retrouver où qu'elle soit. C'est con l'amour quand on est un adolescent, surtout aussi romantique et pathétique que Vadim. Il l'aimait et dans son esprit un peu perturbé, cela comptait plus que tout le reste, plus que n'importe quoi d'autres, bien plus que son titre ou sa famille. Romantique pathétique, Vadim Badica.

⊹ CHAPTER THREE : the mistake ⊹
Ses canines s'étaient encore une fois enfoncées dans sa chaire délicate tandis que leurs corps formaient une harmonie sans fin. Un moment exquis de pur bonheur, une bulle dans laquelle ils s'enfermaient tous les deux, l'espace d'un instant, juste un petit moment avant que la réalité ne reprenne ses droits pour tout détruire sur son passage. Et chaque fois, c'était de pire en pire. Doucement, Badica s'était levé pour se diriger vers sa salle de bain. Etre en dernière année offrait quelques avantages, comme celui de posséder sa propre chambre, cette dernière information était devenue nécessaire depuis qu'il n'arrivait plus à s'en passer. Son reflet dans le miroir donnait l'impression d'un homme faisant peine à voir. Et c'est ce qu'il était sans le moindre doute, quelqu'un d'horriblement perdu. Sur sa bouche se trouvait la trainée liquide de sa dernière erreur. Encore... Il n'avait pas pu y résister, cela devenait fréquent, bien trop. Il se rendait compte combien son corps désirait cet acte charnel, combien son être avait besoin de ce sang. Son visage dans la glace lui renvoyait l'image de l'être sanguinaire qu'il avait l'impression de devenir et cela le détruisait de l'intérieur. Comment tout avait-il pu dégénérer de la sorte ? Comment pouvait-il à ce point avoir besoin de sang de Dhampir ? Comment pouvait-il infliger ça à Hazel. Tout cela le dépassait totalement. Avant ce n'était que de temps en temps, un moyen de rendre différent leurs échanges mais l'homme devait bien se rendre à l'évidence, il était maintenant incapable de s'en passer. Cela devenait fréquent bien trop et toute l'eau qu'il mettait sur son visage ne pourrait lui faire oublier l'horreur de sa nature. « Vadim ? » Il entendait sa voix, cette voix qu'il aimait comme toute sa personne. Parce que tout était ainsi parce que Badica était bien incapable de se passer de son Hazel. Sa beauté, pour lui, elle n'était pas une Dampir, elle était la femme qu'il aimait, celle de laquelle il serait tout bonnement incapable de se passer. Et ce n'était pas près de changer, bientôt, il quitterait l'académie mais il ne désirait pas l'abandonner, non, il continuerait de l'aimer, même s'il devrait attendre plus longtemps avant de pouvoir la serrer tout contre lui et puis la mordre... A cette pensée l'homme remit plus d'eau sur ses traits avant de retourner dans la chambre. Elle était belle, couchée négligemment dans les draps, le visage détendu, peut-être même un peu trop. Elle paraissait là tout en étant ailleurs. En la regardant de plus près, il pouvait observer la couleur de sa peau plus claire qu'à son habitude. Et puis, il y avait le résultat de son moment d'errance, la marque était fraiche et très visible. Cachant son malaise, l'homme vint se recoucher près d'elle, ses yeux ayant du mal à se détacher de son oeuvre. Parce qu'il y en avait trop, bien trop, parce que son corps dénudé dévoilait les autres traces, celles qu'il faisait plus discrètement pour ne pas qu'on remarque quelque chose. Chaque fois qu'il voyait cela, son esprit lui criait de tout arrêter de ne pas laisser cette horreur se reproduire une fois de plus mais son corps l'en empêchait. Il avait besoin d'elle, tout entière, de se mêler à elle, de sentir son si délicat parfum se répandre entre ses lèvres. Non, il n'arrivait plus à s'en passer, même l'idée de penser enfoncer ses canines dans sa chaire lui donnait envie de recommencer. Mais le pire c'est que tout le reste devenait vide de sens, froid, que les sources étaient si fades qu'il n'y allait plus vraiment. Oh bien entendu, il se rendait aux sources, pour sauver les apparences mais seulement tous les deux jours. Et puis il laissait simplement la marque de ses canins sans vraiment pomper de sang. Parce que ce n'était pas ce qu'il désirait. Non, tout ce qu'il lui faisait envie était la demoiselle couchée à ses côtés. La femme qu'il aimait plus que tout et celle qu'il continuait de détruire davantage à chaque morsure. Mais que pourrait-il faire contre cela ? Rien, parce que si Hazel avait besoin des morsures lui c'était de son sang dont il ne pouvait se passer. « Je t'aime plus que tout Hazel. » Il prononça cela comme s'il s'agissait d'excuse et au fond ça l'était surement. Vadim s'excusait de l'épuiser de la sorte, de lui faire autant de mal alors qu'il l'aimait plus que tout. Mais arrêter, il en était malheureusement incapable.



⊹ CHAPTER FOUR : the reborn ⊹
Revenir à la cour ce n'était pas rien. Vadim avait passé cinq années loin d'ici, sur un autre continent dans une autre vie. Revenir dans le palais royal ne faisait que lui donner plus envie d'un retour vers son autre vie. N'être qu'un Moroï parmi tant d'autres pouvait avoir des bons côtés. Parce que les royaux étaient plus rares sur l'ancien continent et que leur notoriété ne semblait pas se rependre autant qu'ici. Depuis qu'il était là, il avait la sensation d'étouffer, d'être pris dans un piège duquel il était incapable de se défaire. Oui, le monde était contre lui et rien ne semblait pouvoir changer cet état de choses. Vadim souriait mais pas de l'intérieur, non, le nouveau continent n'avait que peu de chance de lui plaire. Parce que c'était ici que tout avait changé et il ne désirait pas redevenir celui d'avant. L'épave bien trop accro au sang de Dhampir. Non, ces cinq années l'avait métamorphosé guérissant son accoutumance ou du moins la diminuant peu à peu. Personne maintenant n'aurait pu deviner ce par quoi il était passé, surtout pas la créature qui le tenait par le bras. Allison semblait dans un autre monde, elle entrait au palais par la grande porte ce qui ne devait pas lui arriver très souvent. Son émerveillement était en total opposition avec la lassitude ressentit par le jeune homme. « Tu penses qu'ils vont m'apprécier ? » La demoiselle était nerveuse de plaire à ses parents mais lui, il avait la certitude que tout ce qu'elle pourrait faire ou dire leur plairait. Parce qu'en mettant de côté le fait qu'elle n'était pas royale, elle était parfaite pour eux. Parce qu'elle une Moroï et qu'après Hazel, elle devenait parfaite, parce que ses parents avaient pendant longtemps craint que la suivant soit également une Dhampir mais ce qu'ils n'avaient jamais compris c'est qu'il n'avait pas vu en sa première vraie petite amie une Dhampir mais une jeune demoiselle dont il était fou amoureux.Mais cela personne ne comprendrait jamais et il ne cherchait même plus à faire passer cette idée. Non, depuis son retour, depuis Allison Vadim acceptait beaucoup de choses. Parce que c'était plus facile que de se battre, parce que de toute manière une grande partie de sa vie ne lui appartenait pas et que finalement, tout cela l'avait poussé à ne plus se battre. Il ne pouvait changer sa nature et même s'il revenait au pays pour être avec sa belle demoiselle, il savait que cela n'impliquerait pas que de bons moments. Les idées très arrêtées de ses parents le rendraient dingue avant la fin de l'année. Toutefois, l'homme avait plus d'une idée dans son chapeau et continuer d'étudier dans la nouvelle université qu'avait fondée Lehigh loin du palais lui était apparu comme la seule option envisageable. Vivre près d'eux revenait à se laisser empoissonner et cela, il n'était pas près. « Ils vont t'adorer. » Il en était certain tout comme il savait que la Moroï serait à son aise dans son monde, plus que lui. Oh parfois, il se demandait si tout cela était vraiment de l'amour ? Parce que ça ne ressemblait pas à sa première histoire mais toute histoire d'amour est différente. Ce qu'il savait avec certitude c'est qu'il appréciait sa petite amie, qu'elle le rendait bien souvent heureux et qu'à choisir une future Moroï à côtoyer plus intiment, elle était un très bon choix.