Deliah Ivashkov Ϟ LOVE THE WAY THAT YOU BLEED
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![⊹ heavy metal heart Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) | Sujet: ⊹ heavy metal heart Mar 8 Juil - 15:39 | |
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the danger is I'm dangerous and I might just tear you apart. FT. FELICITY JONES - CREDITS : ELIOT LEE HAZEL ⊹⊹
race : moroï. date et lieu de naissance : c'était dans une petite maison de brique rougeâtre modeste de drovkova creek, à ce moment-là baignée dans le doux soleil de l'aube. les cris de sa mère perçants la quiétude matinale printanière, elle a vu le jour le quatrième jour de mai. une âme presque estivale, toujours coincée dans la pâleur, au moment où ses pleurs retentirent a-t'on du tirer les rideaux. âge : elle vient à peine de souffler ses trente-quatre bougies, un compteur qui ne cesse d'augmenter, lui donnant des pauvres migraines. le temps ne devrait être rien et pourtant il tourne à vive allure, l'aiguille bouge trop vite et est bien trop étourdissante. nationalité et origines : américaine, elle l'a toujours été et sans doute le sera-t'elle toujours. bien que par alliance son patronyme donne une impression d'exotisme. elle vient de la lande de la liberté et des drogues éphémères. situation amoureuse : voilà déjà longtemps qu'elle est mariée, unie à un homme qu'elle chérie profondément et qu'elle admire avec ténacité. elle a également un enfant, une progéniture déjà âgée de onze ans qui la fait sourire autant qu'il l'étourdit. traits de caractère : amicale, douce, rancunière, tenace, têtue, orgueilleuse, souriante, aventureuse, logique, sensible, amoureuse, passionnée, loyale, possessive, réfléchie. | |
statut social: elle n'était rien. non, elle n'était rien sinon une pauvre fille un peu perdue, à la recherche d'un chemin tracé, recherchant avidement une quelconque place dans ce monde chaotique. elle errait d'endroits en endroits, posant des pieds tremblants sur des dalles instables, avant d'avoir trouvé en un visage charismatique le sol ferme où elle allait poser ses ailes. à présent, elle n'est pas deliah henry, deliah qui ? elle est devenue deliah ivashkov, un nom qui veut dire quelque chose, qui allume une lumière dans les pupilles des gens. elle monte, doucement, sinueuse, inoffensive. on commence à connaître son nom, son visage. peut-être se rendra-t'elle au sommet, peut-être pas. elle même ignore ce qu'elle désire vraiment. ce qu'elle sait, toutefois, c'est qu'elle n'est plus dans les bas-fonds mais qu'elle s'est forgée une place dans la société. elle est royale par alliance, après tout, rien de moins. seul l'avenir sait jusqu'où elle ira. statut professionnel : elle qui n'a pas reçu d'éducation royale, ses moyens étaient moindres, elle n'a pas eu l'opportunité de recevoir des leçons grandioses, ou d'avoir les sous pour se payer quelque chose de grand. elle était secrétaire lorsque nazar l'a trouvée, rien de prestigieux, un job qui lui insufflait du malheur et de l'ennui. à présent, avec ses nouveaux moyens, elle est capable de poursuivre sa passion. galeriste, elle juge l'art et la montre, en discute et la vend. elle possède une petite galerie où elle expose les artistes qui en valent la peine. bien qu'elle travaille souvent de son foyer, où elle peut s'occuper de son fils, il lui arrive de faire quelques petits voyages pour dénicher le prochain artiste en vogue. on fait également appel à elle pour ses conseils judicieux en matière d'esthétique. elle donne également parfois des conférences à l'université ou à l'académie. en bref, elle se promène d'endroits en endroits pour partager son amour pour l'art. | ____________________________ ____________________________⊹ II. BLOOD IS FAMILY (QUESTIONNAIRE) ⊹votre pire défaut :quitte à se saouler, autant le faire avec :votre source préférée est déjà prise par un autre Moroï. Vous êtes :En soirée vous êtes : Vos canines, vous les aimez : Honnêtement, elle vous pompe l'air, Tatiana Ivashkov ? Vous partagez ses idées ? la politique, deliah n'y connaissait rien. rien du tout, même. pas avant de rencontrer nazar, pas avant de devenir son épouse, pas avant de devenir un ivashkov. elle ne connaissait pas ça, elle ne s'y intéressait pas, puis soudainement on lui mettait tout sur un plateau d'argent, les connaissances, le luxe, un lien familial avec la reine elle-même, par alliance peut-être, mais lien familial tout de même. deliah s'est donc un peu abreuvée de ses dires, les a acceptés, les a étudiés, les a compris. elle fait partie du clan, elle n'a pas son mot à redire. elle va suivre la reine, être fidèle à elle. elle la respecte, elle l'admire pour son sang-froid et son être, bien que certains de ses propos lui donnent les frissons. mais une reine doit être respectée, et pas nécessairement aimée. Quelles sont vos relations avec les dhampirs ? Et avec les autres Moroï ? très cordiales, en fait. deliah n'aime pas avoir des ennemis, elle tente donc d'en avoir le moins possible et de rester polie avec tous, malgré leur statut. car au fond d'elle, elle songe toujours qu'elle a déjà été une moins que rien, qu'elle a déjà été au bas de l'échelle et que ce n'est que grâce à une chance incroyable, la chance impossible de l'amour de nazar, qu'elle a pu s'élever et rejoindre les royaux. elle tente donc d'être courtoise avec tout le monde, bien que son tempérament la pousse parfois à être sèche. elle respecte énormément les autres royaux, qu'elle a toujours de la difficulté à voir comme des égaux malgré tout le temps passé en leur compagnie. en ce qui concerne les dhampirs, elle les respecte pour le travail. il existe entre elle et son gardien une vraie relation de confiance, elle croit donc que les dhampirs accomplissent bien leur devoir, bien que certains d'entre eux lui semblent un peu... sauvages. Quelle a été votre réaction suite au massacre ? Faites-vous partie d'un groupe en particulier ? l'horreur. tout simplement. deliah a été très choquée en entendant tout ce qui s'était déroulé. la mort, cela ne lui fait plus peur, elle l'a bien trop côtoyée, mais un tel massacre ferait frissonner n'importe qui. elle s'inquiète pour sa famille, pour nazar, pour son fils. plus personne n'est à l'abri, il lui semblerait, bien qu'elle aime penser que son gardien soit plus que capable de la protéger en cas de besoin. mais cela a créé un gouffre dans son coeur, un gouffre de peur, de terreur, de crainte constante, une envie de regarder ses arrières à tout instant. elle protégera son fils coûte que coûte, mais quel sera le prix ? ____________________________ ____________________________ ⊹ III. BLOOD IS PAIN (HISTOIRE) ⊹PARTIE I. ⊹ 1992 ⊹ “Deliah, il faut que tu manges.” La jeune fille secoua de nouveau la tête, ses mèches ébènes retombant devant son visage obstinément. Elle les chassa d’un geste brusque, la mâchoire serrée si fort qu’elle semblait vouloir briser. “Si tu ne te nourris pas, ça ne te fera que plus de mal.” Elle savait que sa mère avait raison. Elle le savait très bien, elle avait toujours raison, après tout. Mais son estomac semblait vouloir sortir de sa gorge, ses dents tomber une à une, son coeur cassé comme un vase de verre, impossible à reconstruire, impossible à guérir. Les larmes lui brûlent les yeux, sa gorge sèche écorchant son être comme des lames de rasoir à chaque fois qu’elle tente de les ravaler. C’est injuste. Injuste, injuste, injuste, a-t’elle envie de hurler. Ses pupilles fixent le vide, elle a presque peur de les fermer, elle ne veut pas le revoir. Elle ne veut pas revoir ce visage flétri et malade et inoubliable, ce visage qui avait été si souriant et si réconfortant. Il était pire qu’un cadavre. Elle se rappela les bras osseux et la bave au coin des lèvres et les globes presque morts et le souffle rauque. Cet homme-là, cette chose-là, ça n’avait pas été son père. Ça n’avait été qu’une horrible créature imitant les traits de son paternel adoré, une vile bestiole qui tentait de la bafouer. Ton père est très malade, tu sais, lui avait dit sa mère de sa voix tranquille, le sourire triste, l’âme vide. Mais à ce moment là, il n’était pas malade, il était déjà mort, son âme s’était déjà envolée, ne restait plus que son enveloppe charnelle pour pourrir sur cette terre maudite. Elle leva les yeux vers le plafond de bois défraîchi. Toute la maison empestait la mort, ça lui levait le coeur, ça lui donnait envie de vomir. Si seulement ils avaient eu plus d’argent. Quelle idiotie, quelle imbécilité que ça se soit terminé là. À un simple montant d’argent, invisible, hors de portée, cette petite montagne de pièces qui auraient pu sauver son père. Qui auraient, peut-être, pu le guérir de cette maladie lui rongeant l’esprit. Toute sa vie on lui avait enseigné, il lui avait enseigné, de ne pas accorder d’importance à de telles choses, le luxe, la posession matérielle, et quelle ironie du sort ! Les choses mêmes qu’il balayait du doigt lui auraient sauvé la vie. Deliah avait envie d’éclater de rire. Mais elle était trop triste. Elle accepta de se nourrir, sentant son corps faiblir à la minute. Sa mère lui caressa les cheveux, et la laissa tranquille. La jeune fille s’effondra sur son minuscule lit, observant l’environnement familier tout autour. Était-ce ce qui allait lui arriver ? Allait-elle tomber malade, et mourir sans que le monde ne s’en aperçoive ? Serait-elle un énième cadavre au nom anonyme enterré six pieds sous terre au cimetière de la ville ? Personne ne se souviendrait de Baptiste Hendry. Ça lui levait le coeur. Elle ne pouvait vivre comme ça. Il lui fallait devenir quelqu’un, il fallait que quelqu’un se souvienne d’elle, que tous sachent qui elle était. L’anonymat, cela envoyait un onde de choc dans ses veines, contractait son visage pâle et faisait grincer ses canines. Un peur terrifiante et écroulante. Elle ne pouvait encaisser de rester une pauvre fille, perdue et inconnue, errant dans les rues de Drovkova Creek, pauvre, avec une formation qu’elle ne pouvait utiliser, seule, sans gardien, idiote même. Elle ne finirait pas comme son père. Elle ne finirait pas comme sa mère, pleurant tous les soirs dans une chambre trop petite, s’essuyant les deux avec une couverture bon marché et préparant un ragoût fade des restes du jour d’avant. Non, elle serait quelqu’un. Un jour on connaîtrait son nom, on connaîtrait son visage. Un jour Deliah voudrait dire quelque chose. Peut-être. Un jour. Elle ne savait pas comment elle s’y rendrait. Ça prendrait peut-être sa vie entière. Mais elle y arriverait. Peut-être. Un jour. Sinon, elle préférait mourir tout de suite.PARTIE II. ⊹ 2003 ⊹ Elle ne comprenait pas. Elle regardait la bague, le petit mais si éblouissant diamant, elle avait le souffle coupé, elle n’était plus en vie, ce n’était pas possible, ce ne devait être qu’un rêve. Et pourtant il était là, juste devant elle, son visage à portée de mains, elle avait envie de le toucher tendrement, pour s’assurer qu’il était bien réel et pas un simple mirage. Elle avait envie de rire aux éclats, de sangloter doucement, de hurler et de courir. Comment était-ce même possible ? Comment cet homme, comment ce rêve ambulant, comment pouvait-il être à elle ? Comment avait-elle obtenu tout cela, comment s’était-elle rendue là ? Un hasard, une chance, une coïncidence, le destin, peu importe, après tout. Elle était là, il était là, et elle ne pouvait que toiser le petit objet et, avec des yeux ronds comme des soucoupes, acquiescer fébrilement, maladroitement, avec conviction, avec passion, sans y croire, pas vraiment. Et il souriait à son tour, et il enfilait la bague à son doigt, et elle éclata de rire, elle observait son doigt à présent orné, si pâle, si étrange à présent. Et elle l’embrassa, avec tout l’amour qu’elle avait, avec tout ce qu’elle était. Oui, comment en était-elle là ? Onze ans auparavant, son père mourrait bêtement, et elle s’était crue au fond du gouffre, pauvre, seule, sans avenir, sans croire à un avenir, et là voilà à présent fiancée à un Ivashkov, à un homme qu’elle admirait profondément, qu’elle ne pouvait croire réel. Comme la vie était étrange ! Il y avait encore un si long chemin à faire, mais il était là à présent. Avant de le rencontrer, il n’était qu’un nuage sombre, et le voilà à présent éclairci. Elle voyait sa vie, elle pouvait la voir. Son coeur était comblé, son esprit en ébullition. Tout ce qu’elle avait cru impossible ne l’était plus. Le monde lui appartenait, elle pouvait le forger, elle pouvait le créer, elle pouvait le toucher. Comment pouvait-il l’aimer, elle qui n’était rien ? Elle n’en savait rien. Elle n’était consciente que de ses bras autour de sa taille, que de son odeur familière, que de ses cheveux picotant le bout de son nez, que de ses lèvres autour des siennes. Le voile semblait s’être levé. Elle pouvait être qui elle était, à présent, elle ne serait plus seule, elle ne serait plus oubliée. Elle avait cru à la fin du monde, lorsque sa mère était décédée juste au moment où elle achevait ses études à l’académie, le chagrin ayant pris le contrôle de son corps et son esprit. Ce ne pouvait être que ça, la fin du monde. Plus de famille, pas de compagnon, une seule maison triste et froide, pas de moyens pour un gardien, abandonnée dans un monde hostile où les tragédies se succédaient. Mais le vent avait tourné, elle l’avait rencontré, lui, et tout semblait s’éclaircir à présent. Le monde n’était plus sombre et triste, il était illuminé et plein de couleurs. Il était devenu une fresque dont elle possédait enfin le contrôle, elle tenait les pinceaux et elle comptait bien en faire son bonheur, elle comptait bien être enfin heureuse, avec lui, avec tout ce qui viendrait. La paix viendrait peut-être. Peut-être bien. Elle ne pouvait que sourire, creusant son visage dans le cou de Nazar. Elle ne pouvait que sourire.PARTIE III. ⊹ 2014 ⊹ “Tu l’as toujours su.” Elle lève les yeux vers lui, les paupières lourdes, le souffle court. Elle soupire bruyamment, passant une main agitée dans sa tignasse emmêlée. Elle soulève ses jambes tremblantes pour les placer près de son corps, appuyant son menton sur ses genoux. “Tu l’as toujours su, mais tu n’a jamais voulu le croire” ajoute-t’il, ses yeux luisant d’intelligence. Il avait toujours été si malin, toujours si brillant, toujours si sage. Toujours plus qu’elle ne l’avait jamais été, et qu’elle ne le serait jamais. Mais ça lui ne dérangeait pas. Il était son gardien, après tout. Il devait être plus malin qu’elle afin de pouvoir la protéger. Elle secoua la tête, tentant de ne pas pleurer, mais les larmes lui brûlent les orbites, elle a envie de les arracher. Stupide, stupide, stupide. Elle avait vraiment cru que Nazar l’aimait autant qu’elle l’aimait. Et le voilà en train de s’envoyer en l’air avec une jeunesse droguée. Ça lui donnait la nausée. Elle, avait toujours été fidèle. Malgré toutes les tentations et les propositions, elle possédait une loyauté solide comme l’acier, inébranlable. Ce n’était pas le cas de Nazar, visiblement, lui qu’elle admirait tant, qu’elle adorait tant. Elle avait envie de lui faire payer, autant que de le pardonner. “Je devrais lui dire, d’après toi ?” demanda-t’elle à son gardien, qui haussa les épaules. “Que tu as tout vu ? Je ne sais pas. C’est ta décision.” Elle se mordilla la lèvre, la perçant pour laisser couler un filet de sang, qu’elle lécha vaguement, l’esprit ailleurs. Elle n’avait pas envie de confronter Nazar. Que lui dirait-elle, après tout ? Elle ne voulait pas tomber dans les clichés. Elle ne voulait pas l’entendre se confondre en excuses. Après tout… Elle possédait l’avantage, à présent. Elle connaissait son secret, lui n’avait rien. Si jamais ça en venait là, elle avait une arme. Une attaque. Une phrase bien placé, un regard glacial, et il serait sans défenses. Elle soupira bruyamment à nouveau. Les manigances, les secrets, les complots, ceux-ci semblaient de plus en plus nombreux, de plus en plus lourds, de plus en plus insupportables. Peut-être n’était-elle pas fait pour cette vie-là, après tout. Peut-être aurait-elle du rester la jeune moroï pauvre de la campagne, et non l’épouse d’un royal infidèle. Mais elle s’y plaisait. Elle aimait les manières et l’étiquette et le luxe et l’argent et les sourires et les soirées et les bijoux et les sources et la nourriture et finalement, elle aimait Nazar et par-dessus tout elle aimait Xander, son petit trésor, son cadeau, son bijou, sa création. Elle ne troquerait pas cette vie là, pour rien au monde. Mais ça faisait mal, très mal, ça pinçait, ça écorchait, de savoir qu’il était assez pour elle, mais qu’elle n’était pas assez pour lui. Dix ans, une décennie, qu'ils partageaient une vie, qu'ils créaient ensemble. Cela n'était-il donc rien pour lui ? Ne l'avait-il pas profondément aimé ? Peut-être devrait-elle le faire payer. Mais les conflits étaient déjà si nombreux à l’extérieur. En imposer un de plus à l’intérieur de ces murs n’étaient sans doute pas une bonne idée. Elle lança donc un sourire maladroit à son gardien, se redressant, marchant jusqu’à la chambre de son fils. Il était tard, et il dormait profondément. Elle toisa son petit corps, si frêle, si fragile, ses cheveux et ses traits, qu’il ressemblait déjà tant à son père ! Elle sentit les larmes lui picoter les yeux. Son père, son stupide, son idiot, son charmant, son magnifique, son imbécile, son parfait de père. Elle n'était plus jeune, elle ne ferait que vieillir à présent. Mourrait-elle seule et triste, comme sa propre mère ? Oui, certainement pourrait-elle le faire payer. Pas de violence, rien de tout cela. Mais elle avait ses propres buts. Peut-être pourrait-elle l'utiliser. Elle laissa ses doigts caresser la tignasse de son fils, avant de retourner dans sa propre chambre, un peu froide, un peu vide, en songeant que Nazar était là, quelque part, chaudement réfugiée dans les bras d’une autre, et qu’elle était seule, avec ses pensées les plus sombres. - Citation :
- ⊹ IV. BLOOD IS DEATH (VOTRE PARTIE) ⊹
pseudo/prénom : mari âge : vingt petit printemps. présence : 7/7, autant que possible. où avez vous pris connaissance du forum ? par bazzart. avis/commentaires : il est à croquer . avez vous lu la saga ? non, je ne l'ai pas lue! au début j'étais un peu perdue mais j'ai lu les annexes et ça m'a pas mal éclairé très bon boulot
Dernière édition par Delia Ivashkov le Jeu 10 Juil - 21:25, édité 13 fois |
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