race : Moroï personne ne doute de ça au moins. date et lieu de naissance :  Un vingt-cinq février dans une clinique privée d'Oslo. âge : Vingt et un an. nationalité et origines : Oona est norvégienne par sa mère et pendant longtemps, elle n'a su ce que lui avait légué son père ou du moins elle savait simplement qu'il était Américain. Elle possède donc des origines américaines même si finalement  cette partie de son être lui est malheureusement inconnue situation amoureuse :  Célibataire, Oona a beaucoup de mal à laisser entrer quelqu'un dans son existence. La demoiselle se préserve pour le bon, dans le but de ne pas fairemêmes erreurs que sa mère. Sauf qu'en agissant de la sorte, elle s'éloigne également de tout homme pouvant lui convenir ou l'aimer. traits de caractère : Surprenante, spontanée, simple, douce, sensible, incapable de se mettre en relation, manque de confiance en elle et en autrui (surtout les hommes), réaliste, insouciante tout en ne l’étant pas, mature et enfantine à la fois, incertaine, intelligente, n’a pas peur de remettre les gens à sa place, polie, bien élevée, douce, cultivée, consciencieuse et ambitieuse.

statut social: Oona est la première fille d'une Moroï scandinave qui est la directrice de l'ambassade Moroï pour la Scandinavie. Ce poste lui donne donc une bonne place dans la société Moroï même si cette dernière est contrebalancée par sa situation particulière. Oona ne connait pas son père ou du moins a mis de nombreuses années avant de pouvoir découvrir son identité. Et si maintenant, elle sait qu'il s'agit de Ryan Dashkov les choses n'en sont pourtant pas plus simples. Parce qu'elle n'est qu'un rien.statut professionnel : Oona étudie les relations internationales. Au départ, c'était simplement un moyen d'obtenir l'admiration maternelle mais la demoiselle s'est prise au jeu et espère obtenir plus tard un bon poste dans la société Moroï. Peut-être même que cela la rapprochera de son père.

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⊹ II. BLOOD IS FAMILY (QUESTIONNAIRE) ⊹

votre pire défaut :

excessif(ve) trop sérieux(se) étourdi(e) trop émotif(ve)

quitte à se saouler, autant le faire avec :

du martini blanc un Blue Lagoon du Get 27 les trois

votre source préférée est déjà prise par un autre Moroï. Vous êtes :

vert(e) de jalousie voyez rouge avez une peur bleue êtes blanc comme un linge

En soirée vous êtes :

rabat-joie lourd(e) in da place invisible

Vos canines, vous les aimez :

un p(i)eu beaucoup à la folie pas du tout

Honnêtement, elle vous pompe l'air, Tatiana Ivashkov ? Vous partagez ses idées ? Jamais Oona ne se permettrait de remettre en cause les décisions de Tatiana. Parce qu'elle est la reine et qu'elle et tout le gouvernement prenne l'optique qu'ils désirent. La demoiselle sait qu'elle n'aura jamais son mot à dire dans le système mis en place et elle se contente donc de prendre la place qui est sienne. C'est-à-dire d'aider une famille royale à gérer ses affaires. Oona n'est pas folle, elle sait combien ce monde peut-être dangereux et elle fera donc tout son possible pour ne pas se faire attraper dans les mauvais tourments. Oona partage les idées qu'on lui demande de partager quant aux siennes, elles les gardent profondément cachées jusqu'à ne même plus les savoir. Parce que son avis n'a jamais été ce qu'on lui a demandé.

Quelles sont vos relations avec les dhampirs ? Et avec les autres Moroï ? Petite Oona prenait les Dhampirs pour ce qu'ils étaient, des protecteurs que les royaux et les riches pouvaient se permettre. Ils n'étaient rien de plus à ses yeux, des êtres différents avec qui elle ne désirait pas se lier. Toutefois, en commençant à passer une partie de son été à l'académie, elle a appris à les apprécier, petit à petit jusqu'à les considérer comme plus que des objets pour se battre. Oona a d'ailleurs perdue une amie Dhampir lors du massacre. Avec les autres Moroïs la situation est mi-figue, mi-raisin. Oona 'entend bien avec certains et n'en supportent pas d'autres. Elle n'a jamais apprécié ceux qui se pensaient supérieurs, incapable de réfléchir avec autre chose que leur sexe. Oui, elle a toujours eu du mal avec les hommes, parce qu'elle ne leur fait pas confiance, parce qu'elle a peur qu'il l'abandonne.

Quelle a été votre réaction suite au massacre ? Faites-vous partie d'un groupe en particulier ? Pour elle c'est une véritable horreur, trop de personnes sont mortes, des gens qu'elle connaissait, une personne dont elle était très proche. Ce qu'elle a remarqué c'est que tout s'est accentué sur la mort des Moroïs ce qu'elle trouve honteux dans un sens. Toutefois, Oona ne dit rien, elle se contente de porter le deuil à sa manière. Elle agit comme elle fait toujours dans une grande discrétion qui lui sied à merveille. Si elle pouvait le faire, elle aimerait bien que ce genre de situation ne se reproduise jamais.

⊹ III. BLOOD IS PAIN (HISTOIRE) ⊹
(en une trentaine de lignes, il s'agira de raconter l'histoire de votre personnage. Sous forme d'anecdote, d'histoire traditionnelle ou autre, le choix vous appartient)

Citation :

⊹ IV. BLOOD IS DEATH (VOTRE PARTIE) ⊹
pseudo/prénom : amandine. âge : 22. présence : écrire ici. où avez vous pris connaissance du forum ?       . avis/commentaires :         . avez vous lu la saga ? yep yep

L'enfant ne tremblait plus, non ce temps s'en était allé depuis un moment déjà. Elle savait qu'une fois encore son départ serait retardé. Les excuses avaient tendances à s'accumuler. Elles étaient toujours bonnes mais jamais elles n'éloignaient la peine qui se saisissait du fond de son coeur. Pourtant, en la regardant, personne n'aurait pu deviner ce que subissait son coeur. Oona, elle arrivait étrangement à ne pas le montrer, petite poupée un peu trop parfaite. Poupée qui cachait tout et surtout ce qu'il ne fallait pas voir. Enfant dont le coeur brillait déjà de sa peine, la gamine ne regardait même plus les enfants s'en aller. Elle avait compris maintenant que cet acte amenait trop de jalousie dans son coeur. Tout cela n'était pas bon. Tout cela ne la rendrait pas plus heureuse. Ces vacances-ci la demoiselle les passeraient encore en partie à l'académie Izodrov. Rentrer jusque chez elle toute seule aurait pu être une initiative envisageable si cela ne mettait pas en péril sa sécurité. Trop de kilomètres sans aucun gardien. Loin, la gamine l'était sans aucun doute et par moments, elle ne pouvait réfréner son envie de chez elle. De son royaume de glace, un monde où elle mettait de moins en moins les pieds. Parce qu'elle n'était pas le parfait petit ange ou plutôt que son existence même la privait de toute chance de briller. Parce qu'elle faisait partie de ce petit pourcentage de Moroïs qui n'avaient pas suivi le schéma classique de création. Parce qu'elle n'avait pas de père, parce qu'elle n'en avait jamais eu et qu'elle n'en aurait jamais. Oh la gamine s'était faite à cette idée et rien ne l'aurait perturbé si elle n'avait pas vu ce même jugement dans les yeux de sa mère. Cette personne qui semblait plus qu'heureuse de l'éloigner pour vivre son bonheur de famille parfaite. Parce qu'elle s'était remariée, parce que des enfants étaient nés de cette union et qu'elle était maintenant l'élément de trop. Celui qui gênait par sa simple présence. Parce qu'elle ne rentrait pas dans le schéma classique de la parfaite famille. Parce que sa demi-soeur elle y rentrait et offrait donc l'image de la petite fille parfaite. Oh la gamine avait bien compris que jamais elle ne pourrait correspondre aux exigences de sa mère et pourtant, elle s'efforçait de continuer sur ce chemin. Un peu folle, totalement prise dans le tourbillon de la recherche d'affection, elle tentait de briller en cours, de se montrer responsable et sage, trop pour une gamine, pas assez pour entendre les mots salvateurs. Sauf que les cours étaient maintenant finis et qu'un autre monde s'ouvrait à elle. En rentrant dans la cafétéria la gamine se souvenait combien elle avait été impressionnée la première fois, elle entourée de Dhampirs, elle seule contre eux, contre des êtres dont elle ne connaissait rien. Mais l'Oona peureuse avait laissé place à une autre. L'été permet de connaitre les gens et même si tout le long de l'année son cercle d'amis se composait d'une grande majorité de Moroïs, l'été c'était un autre monde qui s'ouvrait à elle. « Pâlotte le retour, que la grâce de ta sainte race éblouisse l'ensemble de notre table. » Autrefois, elle se serait mise à rougir et peut-être même un peu en colère mais là, c'était différent. Parce que ce n'était pas la première fois et que parmi eux, elle avait appris à être la pâlotte, la petite fragile qui ne changerait pas. « Fait attention, il paraitrait tout de même que je mords. » Rire, son petit rire cristallin envahissait la pièce tandis qu'une fois encore elle se contentait de manger la moitié d'une pomme. Son appétit ne revenait jamais parfois, elle ne prenait même pas de manger quelque chose, parce que le sang lui suffisait parce que son vide intérieur lui bouffait une grande partie de son énergie. Et pourtant, la petite poupée, elle souriait, comme si sa vie en dépendait comme si c'est tout ce qui comptait. Parce que les apparences prenaient de la place sauf l'été. Parce qu'en été elle passait une partie de son temps à observer un monde dont elle ne ferait jamais vraiment partie. La gamine, elle aimait bien voir les novices s'entrainer et se laisser impressionner par leur force et parfois elle jouait des tours, elle montrait ses petits talents de voltigeuses tout en restant discrète. Parce que c'est ce qu'elle était la gamine, l'ombre présente tout en étant absente. Et pourtant en feignant de mordre dans sa pomme, une question restait tout de même en suspens, combien de jours devrait-elle attendre avant de retourner chez elle ? Combien de jours de plus que l'année précédente.


Pourquoi avait-elle acceptée ? Elle ne le savait plus. Sur le coup, sortir un peu avec lui semblait la meilleure de toutes les idées. C'était mieux que de rester dans cette fête un brin trop bruyant et surtout avaler un liquide qui ne lui faisait nullement envie. Etonnant mais la jeune femme n'appréciait que moyennement l'alcool quoiqu'il pouvait seulement s'agir de ses effets néfastes. La jeune demoiselle avait déjà vu plus d'une femme finir plus bas que terre après un verre de trop et beaucoup de ses camarades ne semblaient pas comprendre le piège qui pouvait se refermer sur elles si elles arrivaient à ce verre de trop. Sortir dehors avec Nathaniel ne semblait nullement dangereux. Il était une connaissance et peut-être même un peu plus, certains regards pouvaient laisser paraitre qu'il désirait plus et la demoiselle n'était pas forcément contre. Il était gentil et ne semblait pas être le genre de Moroï qui se tapait une petite Dhampir pour le plaisir. « On devrait prendre le temps de discuter plus souvent. » Elle appréciait sa conversation et surtout, de tous les garçons présents, il semblait être l'un de seuls qui ne s'était pas amusé à des jeux stupides. Oh, sans aucun doute qu'elle gâchait une grande partie de son existence à vouloir tendre à tout prix vers cette perfection. Qu'elle perdait sa jeunesse mais en même temps, elle ne désirait pas agir comme toutes les filles de son âge. Elle préférait rester elle-même et surtout grandir à son rythme sans se soucier de l'avis d'autrui. Oh personne ne la détestait, parfois on trouvait simplement certaines spécificités de son comportement mignone tout en étant étrange. « Je pense également et peut-être même que l'on pourra faire plus que discuter. » Une sorte d'alarme dans sa tête la fit se raidir. Non, Oona n'était pas le genre de demoiselles à aimer les propositions déguisées parce qu'on ne savait jamais sur quel pied danser et l'incertitude ne faisait pas vraiment partie de sa façon de faire. Non la demoiselle préférait les certitudes à l'oubli total de soi-même. Nathaniel semblant avoir décelé son malaise reprit la parole tout en lui offrant une main. « Pourquoi pas commencer par une danse. » Son sourire détendit assez rapidement la demoiselle qui accepta cette main tout en ne comprenant qu'à moitié sa démarche, la musique ne s'entendait pas d'ici et elle ne voyait pas l'intérêt d'agir de la sorte. Sauf que cela faisait bien trop de questions pour une main tendue et qu'elle se mit à danser tout en sentant une envie de rire lui monter. C'était étrange, surtout quand les yeux persans de Nathaniel ne lâchaient pas les siens lui amenant même un peu de rouge aux joues. « Tu es très belle Oona. » Le rouge ne fit qu'augmenter tandis qu'un faible « Merci. » sortit de ses lèvres. Les yeux ne se quittaient plus et finalement, peut-être que la situation était en train de lui échapper un petit peu. Prise dans le tourbillon, elle ne voyait pas cette main qui descendait tandis que leurs corps se rapprochaient dangereusement. Le temps de comprendre il était déjà trop tard et sa bouche venait à la rencontre de celle de l'adolescente qui ne comprenait pas tout. L'espace d'un instant elle laissa duré l'échange jusqu'à ce que les mains ne se fassent un peu trop pressentes à son gout. Le baiser n'avait plus le même gout et s'éloigner commençait à devenir compliqué. « Je suis désolée mais je n'ai pas envie d'aller aussi loin. » Et la belle tentait de s'éloigner mais deux mains la soulevèrent du sol pour la prendre dans ses bras. Cette position aurait pu être amusante si elle n'avait pas l'impression d'être prise au piège. Son air commençait à lui manquer tandis que sa respiration devint irrégulière. « Nathaniel repose moi s'il te plait ! » Elle restait polie la gamine même si son regard ne se posait plus sur les belles prunelles de l'homme. « Allez Oona, tu m'apprécies, je t'apprécie, tu as surement envie de plus qu'un baiser. » Non, elle ne le désirait pas sauf que ses lèvres se retrouvaient une fois de plus emprisonnées, paniquée, la demoiselle se mit à gesticuler un peu plus mais rien ni faisait, alors ne sachant plus comment agir, elle utilisa son élément. Elle aspirait l'air de Nathaniel qui finit par lâcher sa bouche pour respirer. « Repose-moi immédiatement où je t'assure que tu vas le regretter. » Sa voix était forte et surtout elle n'acceptait pas le nom comme une réponse. « Je voulais juste qu'on s'amuse un peu. » Une fois reposée au sol, la demoiselle mit une certaine distance entre eux avant de se décider à répondre. « Me retrouver en compagnie d'un pervers est bien loin d'être amusant. Au revoir Nathaniel. » Et elle partit, la tête haute, comme si rien ne s'était passé parce qu'elle ne laisserait jamais personne lui prendre ce qu'elle avait de plus précieux : sa virginité. Sa seule manière de ne pas finir comme sa mère

Etre à la cour royale ne cessait de l'impressionner. Elle n'y avait jamais mis les pieds avant aujourd'hui et cela ne l'avait pas dérangée. Parce qu'elle n'y voyait pas l'intérêt ou plutôt que son plan ne pouvait se réaliser dans la précipitation. Peu à peu, la douce enfant c'était rapproché de sa tante, la soeur malheureuse de sa mère. Parce qu'elle avait eu le post dont elle rêvait tant. Parce qu'elle avait eu l'époux et la belle petite famille tandis qu'elle restait seule et sans aucun doute stérile. Lorsque la demoiselle observait sa tante, elle se voyait un peu en elle. Cette force comblant des fragilités qui paraissaient être sans fin. Oona avait toujours été proche de sa tante ou plutôt, elles possédaient cette même sensation d'abandon et d'éloignement par rapport à leur pays d'origine. Oona se sentait parfois coupable des raisons qui l'avaient poussé à se reprocher de cette dame dont sa mère s'était souvent moquée dans son enfance. Parce qu'elle savait sans la moindre doute qui pouvait être son géniteur et que finalement c'était la seule chose qui lui restait. Oona se retrouvait majeure et sans famille, parce que sa mère était partie au loin. Parce qu'elle semblait heureuse qu'un continent tout entier les séparent et qu'elle ne pouvait faire qu'accepter la situation. Sa tante était devenue son dernier espoir, celui sur qui tout reposait et elle était prête à tout pour arriver à ses fins. Parce qu'elle avait besoin de réponses, de se retrouver comme autre chose que la moitié du néant. « N'oublie pas d'être polie, de rester à ta place et de toujours appeler un prince ou une princesse par son titre et son nom de famille. » Des règles, toujours plus de règles qu'elle se plaisait toutefois à assimiler, parce qu'elle savait qu'un jour ou l'autre ce serait à son tour, ce serait à elle de prendre cette place. Oona travaillerait aux côtés des royaux et au fond ce rôle lui allait assez bien. Parce qu'elle n'était pas l'une d'entre eux mais que son sens de l'observation lui permettait de comprendre des choses. Surtout que la demoiselle avait depuis si longtemps appris à tenir une place, à n'être que ce qu'on attendait d'elle qu'elle ne prenait même plus la peine d'essayer de s'affirmer. Elle était l'ombre qu'on ne voyait pas tout le temps, celle qui apparaissait lorsqu'on en avait besoin. Elle était la personne qui savait être là mais également celle qui disparaissait. Mais surtout, elle était connue pour être la demoiselle qui ne disait jamais non. Qui n'offrait son être à aucun homme sauf que ce n'était pas une question de pureté. Oona voulait simplement ne pas ressembler à sa mère, ne peut s'amouracher d'un homme qui ne voudrait pas d'un enfant. Oona voulait l'amour, le grand, celui qui était malheureusement à tout jamais inaccessible. Parce qu'elle attendait trop, parce qu'elle était bien incapable de le supporter, parce que finalement l'amour était ce qu'elle haïssait le plus après sa famille. « Tu me suivras dans certains de mes rendez-vous pour avoir une meilleure idée de ce que je fais et cela te permettra d'établir des contacts avec de futurs-employeurs. » Oona ne répondait rien, se contentant de hocher la tête lorsque cela lui paraissait important. On ne contredisait pas les ordres de Théodora Thorsen, on les écoutait et on acquiesçait. « Et puis, qui sait, tu pourrais tomber sur ton futur mari. » Une expression presque dégoute vint se saisir de ses traits, elle n'avait que 20 ans, elle était bien trop jeune pour penser à ce genre de choses. Surtout qu'elle n'était pas ce genre de fille, celui qui venait à la cour pour trouver un mari.